sa respiration haletante sent le gin tonic la cigarette
nos vêtements traînent emmêlés sur le parquet
je sens mon coeur battre dans mon ventre j’observe sous mon nombril
le sursaut régulier de ma peau
les rideaux d’un vert léger
laissent transparaître son corps nu dans la lumière laiteuse
par la fenêtre ouverte
le bruit du crépuscule fait frémir le tissus fragile
il y a comme plusieurs épaisseurs à traverser pour caresser
ses hanches mousselines